Gestion de parc Windows depuis Unix
Pascal Cabaud
UFR EILA, Université Paris Diderot
Laurent Joly
IUT de Lieusaint, Université Paris 12
Mots clefs
ClamAV, gestion de parc, GNU/Linux, Samba, virtualisation, Windows.
Résumé
Le gestionnaire de parc Windows est confronté aux problématiques suivantes :
le matériel hétérogène,
le déploiement de nouveaux systèmes depuis un master,
l'incompatibilité entre deux logiciels sur un même système,
la lutte anti-virale et d'une façon générale, les problèmes de sécurité.
La virtualisation est plus qu'une solution d'informatique verte : elle facilite grandement la vie du gestionnaire de parc. En effet, une machine virtuelle n'est rien d'autre qu'un fichier de configuration (processeur, mémoire, disque, interface réseau, etc.) et un « support de stockage » qui peut se résumer à un gros fichier. Dès lors, installer un nouveau système se réduit à déployer ces données sur le parc. Elle affranchit des problématiques de parc hétérogènes et d'incompatibilité entre logiciels. Elle permet aussi d'améliorer la lutte anti-virale.
Aujourd'hui, dans un environnement Unix on peut facilement déployer et gérer des systèmes Windows virtualisés, par des commandes facilement automatisables, en n'utilisant que des logiciels libres ou gratuits. Ce déploiement se résume à : copier le master sur les postes, configurer la machine virtuelle, lancer le système pour changer %ComputerName% puis joindre le domaine. Enfin, il faut rendre les utilisateurs autonomes (lancement d'une autre machine virtuelle, accès à un disque amovible) tout en sécurisant les accès.
Gestion de parc Windows depuis Unix
Pascal Cabaud
UFR EILA, Université Paris Diderot
Laurent Joly
IUT de Lieusaint, Université Paris 12
Mots clefs
ClamAV, gestion de parc, GNU/Linux, Samba, virtualisation, Windows.
Résumé
Le gestionnaire de parc Windows est confronté aux problématiques suivantes :
le matériel hétérogène,
le déploiement de nouveaux systèmes depuis un master,
l'incompatibilité entre deux logiciels sur un même système,
la lutte anti-virale et d'une façon générale, les problèmes de sécurité.
La virtualisation est plus qu'une solution d'informatique verte : elle facilite grandement la vie du gestionnaire de parc. En effet, une machine virtuelle n'est rien d'autre qu'un fichier de configuration (processeur, mémoire, disque, interface réseau, etc.) et un « support de stockage » qui peut se résumer à un gros fichier. Dès lors, installer un nouveau système se réduit à déployer ces données sur le parc. Elle affranchit des problématiques de parc hétérogènes et d'incompatibilité entre logiciels. Elle permet aussi d'améliorer la lutte anti-virale.
Aujourd'hui, dans un environnement Unix on peut facilement déployer et gérer des systèmes Windows virtualisés, par des commandes facilement automatisables, en n'utilisant que des logiciels libres ou gratuits. Ce déploiement se résume à : copier le master sur les postes, configurer la machine virtuelle, lancer le système pour changer %ComputerName% puis joindre le domaine. Enfin, il faut rendre les utilisateurs autonomes (lancement d'une autre machine virtuelle, accès à un disque amovible) tout en sécurisant les accès.