« Linux live » pour chercheur
mobile
pas tout à fait dans les nuages...
Jean-Daniel Dubois
Lpmmc, Cnrs-Ujf, Grenoble
Mots clefs
Linux; Mobilité; Réutilisation; Partage; Impact Environnemental
Résumé
Face à la demande de mobilité de la part des chercheurs, ce projet est un peu en contre pied du « cloud computing » présenté comme l'avenir « green » de l'informatique. Ce projet essaye de prendre en compte l'impact environnemental qui passe par la maximisation de la durée de vie du matériel existant. et la minimisation des achats. Pour cela, il faut raisonner en usages plutôt qu'en possession. Cela amène à envisager l'utilisation optimale du matériel disponible.
Dans un contexte d'utilisation nomade des moyens informatiques, le principal problème pour l'utilisateur est de ne pas retrouver les applications dont il a l'habitude. L'ASR, lui, préfère un environnement quelque peu sécurisé par ses soins... L'accès de type « terminal » est une réponse, mais exige une connectivité fonctionnelle. Ce projet propose aux chercheurs un environnement de travail équivalent à celui de leur bureau, pouvant s'emporter sur une clé ou un disque USB : une distribution linux « live » adaptée, utilisable même hors-connexion sur le pc familial ou dans un laboratoire d'accueil.
Au LPMMC (Laboratoire de Physique et de Modélisation de la Matière Condensée), l'installation des postes de travail standard sous Linux (Ubuntu) n'est pas totalement automatisée. Nous partons d'une installation de base (CD de boot minimal et utilisation d'un miroir local), et de quelques scripts réalisant l'installation des outils complémentaires.
Construire une version live revient donc à appliquer ces scripts sur le CD d'installation standard de la distribution. Un CD live est essentiellement constitué d'un filesystem compressé (squashfs). La méthode actuellement utilisée, consiste simplement à décompresser ce filesystem, faire les mises à jour dans un environnement chrooté et regénérer le support.
« Linux live » pour chercheur
mobile
pas tout à fait dans les nuages...
Jean-Daniel Dubois
Lpmmc, Cnrs-Ujf, Grenoble
Mots clefs
Linux; Mobilité; Réutilisation; Partage; Impact Environnemental
Résumé
Face à la demande de mobilité de la part des chercheurs, ce projet est un peu en contre pied du « cloud computing » présenté comme l'avenir « green » de l'informatique. Ce projet essaye de prendre en compte l'impact environnemental qui passe par la maximisation de la durée de vie du matériel existant. et la minimisation des achats. Pour cela, il faut raisonner en usages plutôt qu'en possession. Cela amène à envisager l'utilisation optimale du matériel disponible.
Dans un contexte d'utilisation nomade des moyens informatiques, le principal problème pour l'utilisateur est de ne pas retrouver les applications dont il a l'habitude. L'ASR, lui, préfère un environnement quelque peu sécurisé par ses soins... L'accès de type « terminal » est une réponse, mais exige une connectivité fonctionnelle. Ce projet propose aux chercheurs un environnement de travail équivalent à celui de leur bureau, pouvant s'emporter sur une clé ou un disque USB : une distribution linux « live » adaptée, utilisable même hors-connexion sur le pc familial ou dans un laboratoire d'accueil.
Au LPMMC (Laboratoire de Physique et de Modélisation de la Matière Condensée), l'installation des postes de travail standard sous Linux (Ubuntu) n'est pas totalement automatisée. Nous partons d'une installation de base (CD de boot minimal et utilisation d'un miroir local), et de quelques scripts réalisant l'installation des outils complémentaires.
Construire une version live revient donc à appliquer ces scripts sur le CD d'installation standard de la distribution. Un CD live est essentiellement constitué d'un filesystem compressé (squashfs). La méthode actuellement utilisée, consiste simplement à décompresser ce filesystem, faire les mises à jour dans un environnement chrooté et regénérer le support.